Sous Le Soleil Lyrics by 13 Organisé is a latest French song in the voice of 13 Organisé. Its music too is composed by singer while brand new Sous Le Soleil song lyrics are also written by 13 Organisé. This is a popular song among the people of United States of America. It is all about life in Marseille, capturing both its beauty and struggles. The song talks about how the city has changed over time, with its streets filled with crime, hardship, and a sense of loss. The artists reflect on their personal experiences, sharing how Marseille is in their blood, full of both joy and pain. They paint a vivid picture of a city where loyalty is rare, and survival is tough, but there’s still pride and resilience. It’s a raw, honest look at how the past and present collide under the unchanging sun of Marseille.
Sous Le Soleil Lyrics
[Intro : JuL]
Oh, oh, oh
C’est l’ovni au mic’, mec
[Refrain : L’Algérino]
Marseille, ouais, c’est dans les veines
Y a des joies, y a de lourdes peines
Notre histoire, c’est pas la tienne
Rien de nouveau sous le soleil, yeah
J’me vois dans les yeux d’la mama
Y a des joies, y a de lourdes peines
Marseille, ouais, c’est dans les veines
Rien de nouveau sous le soleil, yeah
[Couplet 1 : Sat]
Ma ville est belle mais la vie, elle, y est pire qu’avant
Parce que de nos jours ici que ça tire et rien qu’ça vend
Si seulement je savais comment remonter dans l’temps
J’crois que plus jamais je reverrai mon Marseille d’antan
J’ai fait le deuil, c’est mort
C’est dev’nu Baltimore
Je reconnais plus mon centre-ville et mes quartiers Nord
On a payé un lourd tribut, on a payé l’prix fort
À qui crois-tu que sont les enfants que la ville dévore ?
Dont elle recrache les corps, dont elle noircit les cœurs
Mais qu’en ont-ils à faire au fond, c’est pas leurs mères qui pleurent
Leurs petits frères qui meurent au pied des barres d’immeubles
Nous ont livré, abandonné à notre triste sort
[Couplet 2 : L’Algerino]
À Marseille, ouais gros tout s’passe dans la tête
Laisse pas traîner tes dettes
J’suis calé sur la côte, envie d’me barrer j’prends l’A7
J’partageais mon assiette en souriant quand j’étais à sec
Des quartiers Sud aux quartiers Nord, les p’tits ont faim
Ils remontent d’Espagne
Tu l’sais, n’est-ce pas
Moi, j’m’attache pas, basta
T’sais qu’on baise tout, j’suis vers l’Estaque
1.3, j’tourne jamais l’dos dans le restau’
Chica, une grosse kichta, verte comme pesto
Envoie le feu, hachek, y a trop d’ (??), (??)
Histoires de s*it, faux chèques
Histoires de s*it, faux chèques, ça vend des kil’, pochette
Trahi son équipe pour une p’tite qui a des p’tites fossettes, yeah
Comme un vide à combler
La Parole de Dieu ça m’aide à tout surmonter
J’regarde vers le Ciel, sais qu’il m’laissera pas tomber
Des quartiers Sud aux quartiers Nord, des Baumettes au Pontet
[Couplet 3 : JuL]
J’suis marseillais comme Nasri
Pour y arriver, j’ai souffert
Combien j’ai pensé aux gens, est-ce qu’ils penseront à moi sous terre ?
Tout part de la chambre, un mic’ une carte son
Pardon maman, j’ai fini aux geôles mais j’étais pas un mauvais garçon
Né dans les quartiers Sud
J’trainais dans les quartiers Nord
Lève le T-Max dans les rues, t’entends à coup d'”Va niquer tes morts”
Ici personne serre les coudes
Y a trop d’problèmes d’ego
Te jette pas à l’eau, ici même les sirènes donnent des go
Ils veulent trop t’voir à terre, gros pour ça j’tiens debout
Quand les murs ont des oreilles, les problèmes sortent des égouts
J’ai mon DP ma Chabrand, j’ai des soucis, des chagrins
J’fais des erreurs mais j’apprends
Eux ils parlent mais ils savent rien
[Pont : JuL]
C’est la crise quand y a des ‘blèmes dans Marseille
Les mamans elles sortent plus, ça a tiré la veille
Ça sent la braise, les képis, ils harcèlent
T’façon on va finir seuls dans un coin de Marseille
[Refrain : L’Algérino]
Marseille, ouais, c’est dans les veines
Y a des joies, y a de lourdes peines
Notre histoire, c’est pas la tienne
Rien de nouveau sous le soleil, yeah
J’me vois dans les yeux d’la mama
Y a des joies, y a de lourdes peines
Marseille, ouais, c’est dans les veines
Rien de nouveau sous le soleil, yeah
[Couplet 4 : Fahar]
J’t’ai pris ton tapis avec une petite paire de cinq
J’t’ai pris ton tapin qu’a exhibé sa paire de seins
Avant on était plein, maint’nant, y a plus dégun
Au temps des francs, on était (??), on s’aimait, c’était pas pour les gains
Nouvelle école, sales sont les codes, (??) et tes potes
Sale est l’époque, poussette, coup d’épaule
Jadis sous le porche, rien dans les poches
L’amour était proche et aujourd’hui la mort se rapproche
Maintenant il faut le plein, l’autoroute à 2.20
Dernière paire de Requin sans penser à demain
C’est le début d’la fin, tout l’monde a faim
[Pont]
Tout a changé (Changé)
Maint’nant c’est le bordel
[Couplet 5 : Alonzo]
Pas trop manuel, plutôt semi-automatique
Elle est refaite, l’ami, j’peux t’en dire qu’c’est de l’art plastique
Deux ans de loyer entourés par un élastique
On passe très vite d’un air sympathique à Saint-Patrick
Electriques sont les gosses, la vie de narcos
Tiens l’arme sans l’arthrose
On attend pas qu’ça tombe du ciel, on fait les causes
T’as grandi dans l’sah
Sont froids comme dans glacière à Bielsa
Chacun porte ses péchés, mais pas dans le même sac
Léwé, en journée, toute l’année, trop jnouné
J’peux tourner, contourner
Tourne pas trop autour du pot
Tu m’remets ? C’est Papé
Ou plutôt c’est Capo
Marseillais, essayez, faut payer, c’est Capo
[Couplet 6 : Le Rat Luciano]
Les grands influencent la pluie
Tout pour les miens, mon seul appui
Muerda sur la piste, j’perds le temps à mettre sous la pluie
Le temps en cristaux liquides
Le temps à servir les clins
Mes larmes sur les gouttes d’encre
Mais j’écris sur cristaux liquides
Après quelques shots , j’nous r’vois young
Une des plus belles vies d’voyou, 1980-quelque chose
Par ces temps-là, on était bien libres comme l’art
X temps après, c’est zéro peine comme l’arme, mon silence comme larme
Pa-pa-pim, homme à terre, décès
Cuillère, LDC sur flaque de sang RDC, c’qu’on a laissé
Qui zappe le passé n’a pas d’futur à portée d’mains
Qu’est-ce que la peine d’aujourd’hui peut apporter d’main ?
[Couplet 7 : Menzo]
De Saint-Antoine, au Panier, à la Cayolle
Avant-après, c’est Marseille, c’est mariole
Ça vit au taquet, met l’paquet dans v’là les domaines
Gros, raye le parquet, t’as r’marqué, loin est demain
Comme la nuit à l’Opéra, pas peur d’se salir les mains
Qui nuit le paiera, et qui veut salir les miens
1.3 en mode opéra, j’suis dans ma paranoïa
J’viens du ghetto, ya
T’en veux, tu paies le plot, ya
Longue vie aux braves qui mettent du cœur pour les 111
Y a qu’l’amour de grave, mon sang ose
Comme Zizou, comme Sopra’, comme le J, et merci, oh
Flamme JO, toujours aussi haut, c’est Marseille, oh
[Refrain : L’Algérino]
Marseille, ouais, c’est dans les veines
Y a des joies, y a de lourdes peines
Notre histoire, c’est pas la tienne
Rien de nouveau sous le soleil, yeah
J’me vois dans les yeux d’la mama
Y a des joies, y a de lourdes peines
Marseille, ouais, c’est dans les veines
Rien de nouveau sous le soleil, yeah
[Couplet 8 : Don Choa]
Dans une ville qui n’existe plus
Des ruines et des cendres, réminiscence
J’ai vu ces rues ruisseler de sang
Plus rien n’a de sens
Rêve incandescent, rêve de renaissance
Retour au réel, petit, redescends
Du passé au présent, tout part en fumée
Des pensées perturbées, turbulent, tête brûlée
Perd du temps à calculer, regarder passer les trains
Regarder l’sablier s’écouler grain par grain
Des sous au chaud, off-shore
Ça sort pas d’Oxford
Onde de choc, Don Cho’, trop chaud, gunshot
Ici, si ça sort chargé, c’est logique
La Psy, FF, PN, l’Algé, le J
[Pont : AS]
Et ouais, mon pote, tout a changé, c’est plus les mêmes choses
Plus les mêmes façons d’s’habiller, c’est plus les mêmes codes
On reconnaît plus le quartier, c’est plus les mêmes blocs
Mais mashallah depuis le temps passé, toujours les mêmes potes
On reconnaît plus le quartier
Avant c’était respect, loyauté, plus de complicité, d’amour et de sincérité
On reconnaît plus le quartier
Maintenant ça met le pare-balles en été
Ça blague pas, la vérité, c’est chaud, y a trop d’rivalité
Eh, l’atmosphère est tendue comme un string
Entends-tu la voix d’la street, mon art tue
On reconnaît plus le quartier
Le petit frère te torture, homicide
Tu tchatches plus, t’hallucines au rap cru, aux racistes
[Couplet 9 : Vincenzo]
T’as reconnu la mélodie, le sang, de la ville au grand cœur
Sages poètes de la street, le film des Tontons flingueurs
On m’dit qu’tout a changé, méfie-toi de ton frangin
Influencé et matrixé par des films à l’accent latin
Bats les couilles d’ton cartel, mouille le maillot Van Buyten
Si RedBull donne des ailes, j’suis Papin, j’suis Verstappen
Marseille, city beach, ça va vite, 4Motion
Viens faire l’tour de la ville sur une scène en slow motion
1.3, papy, étoile, ‘na-‘nard Tapie on t’fait danser dans la street comme Blackstreet “No Diggity”
C’est V.I.N de la Psy4 a.k.a. (??)
À l’ancienne ça f’sait les 4 Marseillais dans ta ville
[Couplet 10 : Soprano]
Déjà, une pensée aux absents
Pour eux, j’porte le brassard plein d’sang en imposant mon accent
Là où nous ont interdit l’accès
Dans c’game j’suis l’vaccin, pas pour tes Rolex mais pour mes frères relaxés
Ici y a (??) qu’on a grandi dans la soie
On confie pas estime de soi et obsession d’soi
Comme le groupe de François on a la furie et la foi
On porte le keffieh comme les enfants d’Rafah dans l’pe-ra
J’suis pas comme eux, j’suis pas commun
J’suis pas con mais, joue au con et la faute, je commets
J’suis une comète comorienne qui commémore les morts des quartiers Nord
Ici combien se noient pour un billet comme la pochette de Kurt Cobain ?
Ne prends pas notre pudeur pour une image lisse
Marseille ; c’est trop vrai pour ton Netflix
Marseille ; c’est sincère comme les larmes d’un daron
Et ça ; depuis les grands frères aux surnoms de pharaons
[Outro : JuL]
Tout en détente, sans casque, en deux temps
Penser à ramener le bon vieux temps, celui qu’on aime tant
Mais bon je tente
On peut pas leur ressembler
13 Organisé vient pour rassembler
13 Organisé Songs
Sous Le Soleil Lyrics Meaning
[Intro (JuL)]
JuL is just making a quick entrance, announcing himself as the unique voice on the mic. He’s basically hyping up his presence in the song.
[Refrain (L’Algérino)]
This refrain highlights the deep connection the artists have with Marseille. They express pride in their city, which is filled with both joy and pain. They point out that their story is unique and not like anyone else’s, emphasizing that nothing ever changes in the harsh realities they face. The reference to seeing themselves in their mothers’ eyes underlines the emotional struggles and generational ties to their hometown, a place that runs deep in their veins.
[Couplet 1 (Sat)]
Sat reflects on how beautiful Marseille is, but notes that life has become tougher. He’s nostalgic for the past when the city was different and less violent. The neighborhood has transformed into a place where crime and danger are more common, comparing it to Baltimore. He mourns the loss of his familiar Marseille, feeling disconnected from how much the city has changed, especially in the northern parts. There’s a sense of betrayal, as he mentions how the city consumes its youth and spits them out, leaving behind broken bodies and hardened hearts. Sat emphasizes that those in power don’t care because it’s not their families suffering; it’s his people, his neighbors, and his friends.
[Couplet 2 (L’Algerino)]
L’Algerino talks about the tough life in Marseille, where everything is a mental game, and debts can’t be ignored. He reminisces about sharing what little he had, even when broke. From the southern to northern neighborhoods, kids are driven by hunger and ambition, often resorting to illegal activities like smuggling from Spain. He keeps a distance from attachments, staying focused and guarded, especially around money and fake relationships. He talks about hustling in Marseille, where trust is scarce, and betrayal is common. Even when things get tough, he looks up to God for strength and guidance, believing that faith helps him overcome challenges. No matter the struggle, from the poor neighborhoods to the prisons, he keeps moving forward, knowing that the journey is never easy.
[Couplet 3 (JuL)]
JuL shares his pride in being from Marseille, like the famous footballer Nasri. He talks about his struggles and how he thinks of people even when they’re no longer around. Starting from his bedroom with just a microphone, he’s come a long way, although it wasn’t easy. JuL apologizes to his mom for ending up in trouble, clarifying that he wasn’t a bad kid. Growing up in the South but hanging out in the North, he’s seen both sides of the city. He describes a tough environment where egos clash, and loyalty is rare. Even in the midst of problems, he keeps his head up, knowing that gossip and jealousy are everywhere. He relies on his closest ones and learns from his mistakes, despite others judging without really knowing his journey.
[Pont (JuL)]
JuL paints a picture of crisis in Marseille, where shootings make the streets unsafe, and mothers stay indoors. The air feels tense, with constant police presence adding to the pressure. He emphasizes the isolation many feel, believing that in the end, everyone’s left alone in their own corner of the city.
[Refrain (L’Algérino)]
The refrain repeats, emphasizing that Marseille is deeply ingrained in them. It’s a place of both happiness and heavy sorrow. Their history is unique and complex, full of both light and dark moments. Seeing themselves in their mothers’ eyes symbolizes the weight of their experiences. The refrain serves as a reminder that nothing new happens under the sun in Marseille; the struggles are ongoing and deeply personal.
[Couplet 4 (Fahar)]
Fahar reflects on how things have changed drastically. He talks about hustling and taking risks, sometimes with little to show for it. He reminisces about the past when people were closer, and relationships weren’t just about gains. Now, everything feels corrupted, from friendships to street codes. The era has shifted to one where survival requires a more cutthroat attitude. He notes how things are faster-paced, always needing to be ahead, and it feels like the beginning of the end. There’s a constant hunger, both literal and metaphorical, driving everyone forward in an unforgiving environment.
[Pont (Fahar)]
The bridge captures the chaos and change in Marseille, pointing out how it’s now a mess with constant turmoil.
[Couplet 5 (Alonzo)]
Alonzo discusses the shift from traditional ways to a more ruthless, semi-automatic approach. He touches on the materialism that has overtaken the streets, with everything from relationships to business feeling artificial. Alonzo portrays the youth as hardened and quick to violence, not waiting for miracles but making their own paths, often through illegal means. He reflects on how the environment shapes the people, with survival taking precedence over everything else. Each person carries their burdens differently, and life in Marseille is a constant hustle, with no room for weakness. The neighborhood isn’t what it used to be, but the core fight and spirit remain.
[Couplet 6 (Le Rat Luciano)]
Le Rat Luciano reflects on loyalty and the hardships faced by his people. He reminisces about the good old days when things were simpler and more genuine. Now, everything feels like it’s slipping away, with time moving fast and the present feeling fragile. The streets are harsher, and the sense of community is fading. He emphasizes that forgetting the past means losing sight of the future. His lines are a somber reflection on how pain shapes their lives today and influences what tomorrow might bring. Despite the challenges, he remains committed to his roots, holding onto the values of his youth.
[Couplet 7 (Menzo)]
Menzo talks about the diverse neighborhoods of Marseille, highlighting the differences but also the common thread of resilience. The city is always on the go, full of energy and determination. He reflects on the tough reality of street life, where actions have consequences, and there’s no fear of getting hands dirty. The song acknowledges the legacy of Marseille’s heroes, like Zidane and Soprano, and honors those who put heart and soul into the community. Menzo also touches on the paranoia and tension that come with growing up in a challenging environment, but despite everything, the city’s spirit burns as brightly as ever.
[Refrain (L’Algérino)]
Repeating the refrain reinforces the message that Marseille’s spirit is unchanging. It’s a city of contrasts, where joy and pain coexist. The refrain underscores the deep emotional ties the artists have to their hometown, which remains constant amid change.
[Couplet 8 (Don Choa)]
Don Choa reminisces about a Marseille that no longer exists, with the city now in ruins and memories of violence lingering. He describes how the passage of time feels like a dream that’s faded, with harsh reality pulling everyone back down. There’s a sense of disillusionment as he reflects on the streets filled with crime and how money is often hidden away in offshore accounts, far from honest means. The overall vibe is one of frustration and loss, with the streets no longer making sense and everything feeling chaotic and disconnected from the past.
[Pont (AS)]
AS reflects on the drastic changes in Marseille. The old codes of respect, loyalty, and camaraderie are gone, replaced by an atmosphere of distrust and violence. Even the way people dress and act has shifted, making the neighborhood almost unrecognizable. Despite the changes, some friendships have endured over time. AS points out how the environment has become tenser, and the neighborhood’s once strong sense of community has deteriorated, replaced by rivalry and conflict.
[Couplet 9 (Vincenzo)]
Vincenzo emphasizes the spirit and cultural identity of Marseille, drawing on its rich history and connections to street culture. He talks about how even family ties can be tainted by outside influences, and how the city’s fast-paced life keeps everyone on their toes. There’s a sense of nostalgia as he mentions iconic figures and elements of Marseille’s past. The city’s vibrancy and resilience are compared to an energetic, relentless rhythm that never stops, despite the challenges. Vincenzo captures the essence of Marseille’s heartbeat, a city that remains steadfast and proud no matter what.
Famous Phrases with Explanation
1. “Marseille, ouais, c’est dans les veines”
This phrase means that being from Marseille is in the artist’s blood—it’s not just a place, it’s a big part of who they are. It’s about having a deep connection to the city, with its joys and struggles.
2. “Ma ville est belle mais la vie, elle, y est pire qu’avant”
The artist talks about the contrast between the beauty of Marseille and the harsh reality of life there, which has gotten worse over time. It reflects the ongoing challenges and changes that aren’t always positive.
3. “Si seulement je savais comment remonter dans l’temps”
This expresses a longing to go back in time, hinting at nostalgia for a better past. The artist wishes they could revisit a version of their city that they no longer recognize.
4. “J’ai fait le deuil, c’est mort, c’est dev’nu Baltimore”
Here, the artist compares their current situation to Baltimore, a city often associated with crime and hardship, saying they’ve given up hope on the old Marseille. It’s a powerful statement about loss and transformation.
5. “À qui crois-tu que sont les enfants que la ville dévore?”
This line is about how the city consumes its own youth, implying that the harsh environment takes a heavy toll on the younger generation. It’s a critical look at societal neglect.
6. “J’partageais mon assiette en souriant quand j’étais à sec”
This phrase captures the artist’s resilience and generosity. Even when they had nothing, they still shared what little they had, showing their character and the strong sense of community.
7. “Comme un vide à combler, La Parole de Dieu ça m’aide à tout surmonter”
The artist talks about finding solace in faith, using it as a way to fill the emptiness and overcome the struggles they face. It’s about relying on spirituality during tough times.
8. “Né dans les quartiers Sud, J’trainais dans les quartiers Nord”
This line illustrates the artist’s connection to different parts of Marseille, from the South to the North, highlighting their diverse experiences within the city’s neighborhoods.
9. “C’est la crise quand y a des ‘blèmes dans Marseille”
This phrase captures the tension in Marseille when problems arise. It suggests that conflicts and crises are frequent and impactful, affecting everyone in the community.
10. “J’suis marseillais comme Nasri, Pour y arriver, j’ai souffert”
The artist compares themselves to Nasri, a famous footballer from Marseille, to emphasize their deep connection to the city and the hardships they’ve endured to succeed. It’s a nod to shared struggles and pride in their roots.
FAQs
Q. Who has sung Sous Le Soleil song?
A. Sous Le Soleil song is sung by 13 Organisé.
Q. Who wrote Sous Le Soleil lyrics?
A. Sous Le Soleil lyrics are penned by 13 Organisé.
Q. Who has given the music of Sous Le Soleil song?
A. Sous Le Soleil music is composed and produced by 13 Organisé.
“This concludes the lyrics of Sous Le Soleil” by 13 Organisé. If you like this song please share it with your friends and family in USA. If you find any errors in it, please feel free to submit the correct version via the Contact Us section.